La trottinette électrique est devenue l’un des moyens de transport les plus courants dans le contexte urbain. Dans l’article suivant, nous détaillons les endroits où une trottinette électrique doit circuler, ainsi que tous les aspects juridiques à prendre en considération.
Où les scooters électriques peuvent-ils être conduits ?
Depuis quelque temps, les trottinettes électriques sont classées par la DGT dans la catégorie des véhicules de mobilité personnelle. Cela signifie que nous pouvons désormais trouver une législation spécifique à consulter afin de disposer de toute la réglementation relative à ce type de moyen de transport.
Lorsqu’il s’agit de comprendre où les scooters électriques doivent aller, il est important de savoir qu’ils sont exclusivement réservés aux pistes cyclables, s’il y en a. Ceci, par exemple, peut s’appliquer si nous nous déplaçons dans le centre de Gran Canaria. En revanche, si nous utilisons ces véhicules dans la périphérie ou dans une autre localité, il sera nécessaire d’utiliser la chaussée des rues.
En outre, il est important de mentionner que, en tant que piéton ou conducteur de n’importe quel type de véhicule, il est toujours obligatoire de respecter toutes les règles de la route, telles que les feux de circulation ou les panneaux de signalisation. Il est bien sûr interdit de conduire en ayant consommé de l’alcool. Il est également important de rappeler qu’une seule personne peut voyager sur chaque scooter. Il n’est pas possible de transporter un passager et la sanction peut aller jusqu’à 100 euros.
Où est-il interdit de conduire un scooter ?
Maintenant que nous savons où les scooters électriques doivent être conduits, il est également important de connaître les types de routes où ils ne doivent pas être conduits. De cette manière, nous pouvons éviter de multiples problèmes avec les autorités et risquer une lourde pénalité financière.
En ce sens, un scooter électrique ne peut jamais être utilisé sur les autoroutes, les routes à deux voies et les routes, ainsi que sur les trottoirs. Toutefois, comme pour d’autres questions, il est essentiel de consulter les réglementations locales établies dans chaque municipalité. Certaines localités autorisent la conduite sur certains tronçons de route, ce qui constituerait une exception à la règle actuelle.
De même, dans les grandes villes, on trouve des tronçons de pistes cyclables partagées avec les piétons. Sur tous ces tronçons, il est permis de conduire notre scooter électrique. Cependant, dans ces cas, il est important de garder à l’esprit que la vitesse maximale autorisée sera réduite à 10 km/h.
Enfin, lorsqu’il s’agit de les garer, il est également important de faire attention à l’emplacement des zones de stationnement désignées. Ils ne doivent jamais être laissés dans des endroits où ils pourraient gêner la circulation des autres véhicules ou des piétons. Comme pour les motos ou les voitures, on peut courir le risque d’être remorqué.
Quelle est la vitesse légale d’un scooter électrique ?
Connaître la vitesse légale des scooters électriques est un autre des contenus légaux que nous devons prendre en considération. Selon la dernière réforme du Code de la route publiée par la DGT, tout véhicule présentant ces caractéristiques ne peut dépasser 25 km/h.
De même, il n’est pas autorisé à transporter un siège. S’il était équipé, il s’agirait d’un scooter ; et donc d’un moyen de transport complètement différent. Cela signifie que la réglementation applicable pourrait changer radicalement. Il est donc primordial de s’informer auprès des autorités locales des derniers changements concernant les scooters électriques.
La majeure partie de la législation actuelle provient directement de la DGT et est la même au niveau national. Cependant, de nombreux points dépendent encore directement des conseils locaux ou, dans le cas des îles Canaries, des cabildos. Par exemple, dans la plupart des municipalités, l’âge minimum pour conduire est de 15 à 16 ans.
Casque et certificat de contrôle technique
Outre le fait de savoir où un scooter électrique doit aller, il existe d’autres articles de la réglementation qui sont vraiment pertinents. Selon l’article 47 de la dernière réforme du code de la route, le port du casque est obligatoire à tout moment. Comme pour les bicyclettes et les motos, c’est l’un des principaux éléments de sécurité.
En revanche, la police d’assurance obligatoire n’est pas exigée à l’heure actuelle, bien que la DGT envisage de l’intégrer à l’avenir. Cependant, elle est nécessaire pour la location d’un scooter électrique. Évidemment, chez nous, c’est un élément qui est déjà inclus dans le prix final que nous offrons à tous nos clients. Cependant, la grande nouveauté interviendra à la fin du mois de janvier 2024. Dans ce cas, tout type de scooter électrique mis en vente devra disposer d’un certificat de contrôle technique. Ce document présente de nombreuses similitudes avec celui qui est déjà utilisé aujourd’hui pour les voitures ou les motos.
Les modèles antérieurs déjà en circulation peuvent continuer à l’être normalement. Toutefois, ils bénéficieront d’une période de 3 ans maximum, valable jusqu’en janvier 2027. Une autre nouveauté pour l’année prochaine est l’inclusion d’un système qui arrêtera l’unité motrice du véhicule si la vitesse maximale de 25 km/h autorisée par la loi est dépassée. Le compteur de vitesse et les deux freins indépendants, un pour chaque roue, seront d’autres innovations techniques à découvrir sur le prochain parcours. Ce sont des éléments qui amélioreront sans aucun doute la sécurité routière. Il est important de passer en revue tous les détails mécaniques qui seront nécessaires en 2024.
En conclusion, grâce à toutes les idées exprimées dans cet article, vous savez déjà où un scooter électrique doit aller et, surtout, les principales réglementations légales. Chez Scooter and Bike, nous vous offrons la possibilité de louer des scooters électriques à Maspalomas à un bon prix et avec une bonne qualité. Contactez-nous et découvrez l’île de Grande Canarie d’une manière différente !